La liturgie de ce deuxième dimanche du Temps Ordinaire nous immerge dans une atmosphère d’espérance.
Avec Dieu à nos côtés, rien n’est jamais véritablement perdu. Toutes les situations, même les plus désespérées, se transforment finalement en chants de joie. Ainsi, Jérusalem, autrefois qualifiée de “terre abandonnée” ou de “désolée”, brillera de nouveau comme un diadème royal entre les mains du Seigneur.
Ces paroles, jadis adressées au peuple d’Israël par le prophète Isaïe, prennent vie avec l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ. L’Évangile de ce jour nous présente le premier des miracles de Jésus, survenant dans une situation presque désespérée. Lors des noces de Cana, alors que le vin venait à manquer, le mariage risquait de tourner court.
Cependant, la présence de Jésus changea la donne. Un vin nouveau, encore meilleur que le premier, continua à couler à flots, créant une ambiance encore plus festive. Il en va de même dans nos vies : face aux difficultés où nos forces commencent à s’épuiser, tournons-nous vers Jésus avec confiance.
Il saura nous insuffler des énergies nouvelles, qui jailliront à flots et nous conduiront vers l’accomplissement de nos divers objectifs. Que Dieu nous accorde cette grâce au cours de cette célébration.
Amen.